Le pouvoir aux minous
Je dois être vieux jeu, coincée, bref, à 26 ans, on peut finalement se sentir vieux dans sa tête... Dites-moi ce que vous en pensez ...
Je lisais dans l'Echo des Savanes (je suis une fan de BD) un article qui m'a laissée.... comment dire... pantoise, interloquée... bref, un peu tout ça à la fois ! Cet article est consacré au Suicide girls, riot girls, Gueriila girls ou encore Grr Girls, qui revendiquent le pussy power, c'est à dire la pouvoir aux minous... Leur trois mots d'ordre sont : fun, sex et rock'n roll. Je sens que vous vous demandez en quoi consiste ce ralliement ... Alors en quoi cela consiste-t-il ?
Il s'agit d'un mouvement féministe né à Porland en 2001, au sein duquel chacune des filles revendique ouvertement le fait d'être une bombe sexuelle. Alors avis aux messieurs, le bon plan est de repérer une angry girl afin de passer une nuit inoubliable. Ce courant a débuté dès le début des années 90 avec quelques groupes de rockeuses dont les L7 (y faut-il y voir un lien avec les L5 ?), la chanteuse Bikini Kill qui chantait I love fucking...
Sur leur site internet (payant - buisness is buisness !), elles ne se limitent pas à se montrer à poil, elles véhiculent des idées : en clair, il faut s'amuser sans tabou, se faire remarquer, être fière d'être une salope ou une garce, répéter sans cesse qu'on est trop belles (bon, ça c'est vrai, non ?), il faut tenir les mecs par les couilles... Les filles sont percées, tatouées, elles s'éclatent sexuellement entre elles et avec les hommes sans tabous... Les filles photographiées sont sélectionnées en fonction du degré de rébellion affiché. Avec, elles, mon pauvre gars, t'as intérêt à assurer, ces filles-là ne te feront pas de cadeau ! Hier, les femmes revendiquaient l'égalité des sexes en défilant les seins à l'air, aujourd'hui en affirmant leur statut de bombe sexuelle... et demain ?
Evidemment, j'aspire à une égalité homme-femme sur de nombreux plans (politique, salaires...), mais je trouve ce courant un peu trop déjanté pour moi...
Je lisais dans l'Echo des Savanes (je suis une fan de BD) un article qui m'a laissée.... comment dire... pantoise, interloquée... bref, un peu tout ça à la fois ! Cet article est consacré au Suicide girls, riot girls, Gueriila girls ou encore Grr Girls, qui revendiquent le pussy power, c'est à dire la pouvoir aux minous... Leur trois mots d'ordre sont : fun, sex et rock'n roll. Je sens que vous vous demandez en quoi consiste ce ralliement ... Alors en quoi cela consiste-t-il ?
Il s'agit d'un mouvement féministe né à Porland en 2001, au sein duquel chacune des filles revendique ouvertement le fait d'être une bombe sexuelle. Alors avis aux messieurs, le bon plan est de repérer une angry girl afin de passer une nuit inoubliable. Ce courant a débuté dès le début des années 90 avec quelques groupes de rockeuses dont les L7 (y faut-il y voir un lien avec les L5 ?), la chanteuse Bikini Kill qui chantait I love fucking...
Sur leur site internet (payant - buisness is buisness !), elles ne se limitent pas à se montrer à poil, elles véhiculent des idées : en clair, il faut s'amuser sans tabou, se faire remarquer, être fière d'être une salope ou une garce, répéter sans cesse qu'on est trop belles (bon, ça c'est vrai, non ?), il faut tenir les mecs par les couilles... Les filles sont percées, tatouées, elles s'éclatent sexuellement entre elles et avec les hommes sans tabous... Les filles photographiées sont sélectionnées en fonction du degré de rébellion affiché. Avec, elles, mon pauvre gars, t'as intérêt à assurer, ces filles-là ne te feront pas de cadeau ! Hier, les femmes revendiquaient l'égalité des sexes en défilant les seins à l'air, aujourd'hui en affirmant leur statut de bombe sexuelle... et demain ?
Evidemment, j'aspire à une égalité homme-femme sur de nombreux plans (politique, salaires...), mais je trouve ce courant un peu trop déjanté pour moi...